Middle-aged history professor George, and his wife Martha, are joined for a social evening by another faculty couple at a New England college. The result is an all-night drinking session that erupts into a nightmare of revelations.
"La pièce d'Edward Albee, La Mort de Bessie Smith, n'a pas mis fin à la polémique : selon certains témoins, un hôpital " blanc " aurait refusé de l'admettre après son accident de voiture survenu dans la nuit du 25 septembre 1937 sur la route de Memphis à Clarksdale, lors d'un transfert entre deux concerts. On ne saura jamais vraiment si c'est la ségrégation qui lui a coûté cette vie qu'elle avait assombrie de toute façon. En tout cas, elle est morte là où elle a toujours vécu : sur la route. Car c'est par les " minstrel shows " itinérants que cette orpheline a commencé à dix-huit ans sa carrière nomade, dans la troupe où chantait son aînée et premier modèle, Gertrude " Ma " Rainey."
Quelques heures avant l'aube, George et Martha rentrent chez eux après une réception bien arrosée.
Mais la soirée, qui semblait finie, ne fait que commencer : l'arrivée de Nick et Honey va déclencher une série de scènes stupéfiantes, après lesquelles rien ne sera plus tout à fait comme avant... A l'occasion d'une nouvelle production en 2005, Edward Albee a apporté à son chef-d'oeuvre, né en 1962, quelques retouches décisives. Le texte de cette version définitive est ici traduit pour la première fois.
Deux pièces magistrales du grand Albee, enfin rééditées en France : sous forme de diptyque, Homelife et Zoo Story se répondent, la première pièce évoquant l'apparent bonheur domestique d'un couple secrètement en pleine tourmente, tandis que la seconde nous conte la rencontre entre deux hommes dans un parc, illustrant les rapports humains sous le signe de la violence et du sauvage.
A social event becomes a personal challenge for two faculty members and thier wives at a small New England college as their inner fears and desires are exposed. Reprint.
Sur le campus de la nouvelle carthage, george et martha se livrent à un combat oú tout est remis en question, dans une sorte de fête panique, qui les conduit à une violente catharsis.
Quand le jeu cessera, la vérité et l'espoir seront au rendez-vous.
Une bourgeoisie malade, explorée en toute rigueur, sans complaisance ni compassion, dont sont dévoilés des secrets, des terreurs, des convulsions.
Les personnages luttent pour conserver "un équilibre précaire", impuissants à vaincre le temps, l'usure, l'échec. qui sera le balancier, et à quel prix fera-t-il figure de sauveteur provisoire ?.
Twelve times a week, answered Uta Hagen when asked how often shed like to play Martha in Whos Afraid of Virginia Woolf ? In the same way, audiences and critics alike could not get enough of Edward Albees masterful play. A dark comedy, it portrays husband and wife George and Martha in a searing night of dangerous fun and games. By the evenings end, a stunning, almost unbearable revelation provides a climax that has shocked audiences for years. With the plays razor-sharp dialogue and the stripping away of social pretense, Newsweek rightly foresaw Whos Afraid of Virginia Woolf ? as a brilliantly original work of art--an excoriating theatrical experience, surging with shocks of recognition and dramatic fire [that] will be igniting Broadway for some time to come.
