Une poignée de multinationales récupèrent habilement la notion de développement durable, qui devient parfois un simple support publicitaire sans contenu. Ce maquillage vert, qui occupe l'espace médiatique, élude trop souvent les idées modestes mais efficaces, qui conduisent à un usage écologique et équitable des ressources naturelles. Dans cet ouvrage, l'auteur expose des solutions glanées dans le monde entier, à même de protéger la nature autant que les hommes, sans jamais oublier d'en montrer les limites. Quatre grands thèmes - la forêt, la terre, les océans et l'homme - structurent ce "Voyage en terre durable". Des textes illustrés d'images fortes posent les enjeux de notre planète à travers des situations concrètes et des exemples vécus. Une dimension pratique toujours présente vient également répondre à la question essentielle : comment agir ? Gestes quotidiens, conseils d'achats et autres descriptions de labels alimentent un véritable guide pratique de l'écocitoyen. Un propos destiné au grand public, un texte agrémenté d'une très belle iconographie et complété de toutes les informations utiles aux écocitoyens. "Voyage en terre durable" est le premier ouvrage d'une collection qui s'intéresse à notre planète.
Après le succès de Voyage en Terre durable, tour du monde des alternatives écologiques et équitables, Lionel Astruc zoome sur le tourisme. Le propos est riche, les photos remarquables, et ce deuxième titre de la collection est encore plus beau que le précédent grâce à un format supérieur et une reliure cartonnée.
Depuis l'apparition du concept d'écotourisme et de voyage éthique, l'estampille écologique et équitable fleurit sur les dépliants de tour-opérateurs. Mais que cachent ces étiquettes vertes ? Lionel Astruc a sillonné les quatre coins de la planète pour confronter engagements et réalité. Ce voyage dévoile une mine d'idées astucieuses pour mettre enfin le tourisme au service des populations locales etde l'environnement. Il pointe aussi les limites de certaines formules, dont la question taboue chez de nombreux professionnels du tourisme : celle du transport aérien. Écovolontariat en France, voyage équitable en Inde, tourisme responsable au Cambodge ou communautaire au Brésil, écotourisme à Madagascar et en Guadeloupe, séjour chez l'habitant en Roumanie : cet ouvrage plonge le lecteur dans l'exploration d'une itinérance nouvelle, qui redonne son sens au mot aventure. Des solutions pratiques sont proposées pour chaque type de voyage.
Dans une série d'entretiens avec l'icône altermondialiste Vandana Shiva, Lionel Astruc nous livre le regard que porte cette femme combative sur les problématiques du monde contemporain. Et nous aide à comprendre pleinement les enjeux actuels tels que le maintien de la paix et de la démocratie, la souveraineté alimentaire et la préservation des ressources, l'écoféminisme ou encore la liberté des semences.
Emblème de l'accumulation de richesses et géant de l'informatique, Bill Gates est devenu en quelques années une icône de la philanthropie. Mais en réalité ses opérations philanthropiques s'apparentent à un outil au service des multinationales les plus nocives pour l'environnement, la santé et la justice sociale et parfois également au service des intérêts économiques de Bill Gates lui-même. Première publication sur ce sujet en France, ce livre en apporte la preuve en suivant, depuis leur source, les flux financiers qui alimentent les actions dites « caritatives » de la fondation Bill et Melinda Gates.
Cet ouvrage s'adresse à tout étudiant désireux de travailler et d'approfondir sa culture générale pour préparer ses concours ou pour se constituer un bagage solide en vue d'intégrer un milieu professionnel.
Les grandes notions rencontrées en premier et second cycles de l'enseignement supérieur ;
Une organisation thématique et chronologique ;
Des éléments d'actualité qui font écho à des fondamentaux économiques, historiques, sociologiques accessibles grâce à des QR codes ;
De courts QCM pour clôturer chaque notion abordée ;
Un abécédaire traitant de sujets de société
« Lorsque j'ai véritablement pris conscience du changement climatique et des problèmes liés à la nécessité de se passer du pétrole, j'ai étudié les réponses que les gens y apportaient dans le monde et qui me semblaient compassionnelles. Et je n'ai rien trouvé qui me donne de l'énergie. Les Américains qui écrivaient sur le peak oil parlaient de se retirer dans les montagnes du Nebraska avec quatre ans de papier-toilette, des boîtes de haricots et des armes à feu. Ça ne me paraissait pas la meilleure solution. » Rob Hopkins a alors cherché comment tous ces enjeux pourraient rapprocher les gens plutôt que les séparer, comment ils pourraient stimuler leur créativité et leur capacité à innover.
Ce guide synthétique apporte les clés pour comprendre :
- les grandes étapesde la politique écologique ;
- la place du développement durable dans l'action publique ;
- la lutte contre les inégalités et la solidarité internationale ;
- les attentes croissantes des usagers du service public.
- les attentes croissantesdes usagers du service public ;
- les effets de la décentralisationen matière environnementale.
Notre système alimentaire présente une grave faiblesse, trop souvent ignorée : la France, comme la plupart des nations du monde, a perdu sa souveraineté alimentaire. À partir des années 1950, la logique de l'agriculture intensive a conduit chaque zone géographique à se spécialiser dans quelques cultures et à importer le reste d'autres pays, parfois lointains. Il suffit que les transports soient interrompus quelques jours pour que les pays, au nord comme au sud, se retrouvent en situation de pénurie. Aujourd'hui où se dessine l'ère de l'après-pétrole, il apparaît donc nécessaire de retrouver la maîtrise de notre alimentation, en privilégiant les «circuits courts» et les producteurs locaux, ou en produisant soi-même légumes, fruits ou oeufs. Cette relocalisation permet de savoir comment sont produits et transformés les aliments, mais aussi de renouer un dialogue avec les agriculteurs et de leur garantir un revenu à la hauteur de leur travail et de leur rôle nourricier.
Il y a au moins trois bonnes raisons de manger local. D'abord, parce que notre approvisionnement dépend pour une trop large part d'importations en provenance de pays parfois lointains, ce qui le rend fragile. On a calculé que, si les transports étaient interrompus, une ville comme Paris, par exemple, n'avait que trois ou quatre jours d'autonomie alimentaire. Ensuite, parce que ces importations sont coûteuses en pétrole, une énergie qui va devenir rare et chère, et en pollutions qui viennent accroître le réchauffement climatique. Enfin, parce que renouer un lien avec les producteurs locaux permet de savoir comment est produit ce que l'on mange. Cependant, comment faire pour manger local ? Retrouver la maîtrise de son alimentation oblige à réapprendre des gestes souvent oubliés (jardiner, préparer des conserves.) et à redécouvrir la coopération et l'entraide qui conditionnent le plus souvent la réussite. Pour aider à cette grande «requalification», les auteurs de Manger local proposent vingt-six initiatives qui reposent sur des expériences vécues, réussies et facilement reproductibles, ordonnées de manière à amener le lecteur des actions les plus simples à mettre en oeuvre (créer un marché de producteurs, un réseau de paniers, approvisionner une cantine en produits bio et locaux ou démarrer son potager) aux plus «engagées» (se réunir autour d'un jardin partagé, créer un éco-hameau, mettre les initiatives locales en réseau.). Chaque initiative est exposée de manière pragmatique, avec ses succès et ses accidents de parcours. Une liste de conseils pratiques suit chacun de ces récits et donne une idée juste du travail à accomplir et de la marche à suivre pour adapter les différentes idées maîtresses à son propre territoire (quartier, village, ville, vallée.). Cette liste est accompagnée d'un annuaire très fourni qui permet au lecteur de poursuivre sa réflexion pour s'engager localement.
L'accès de l'Inde à la consommation de masse - souvent décrite comme une joyeuse épopée bollywoodienne - sème la mort et les ténèbres: par l'histoire tragique d'un assassinat, ce livre saisit le moment où la ruée vers les ressources naturelles se transforme en guerre, où la société de consommation atteint son point de rupture.
Quelle satisfaction de faire ses confitures soi-même, et d'en profiter tout l'hiver pour se souvenir des parfums de l'été...
Pour nous permettre de préparer ces délices, la nature est généreuse. Pas forcément besoin d'acheter des ftruits du commerce, et quel plaisir de mettre à profit des promenades pour ramener toutes sortes de fruits délicieux, mûrs à souhait, et riches de bienfaits.
Non traités, forts de leurs qualités naturelles, ils vous permettront de confectionner des confitures originales, aux goûts délicieux et peu coûteuses... Lancez-vous !
L'objectif, éminemment politique, de cet ouvrage est de proposer pour 2012 une alternative aux programmes court-termistes et consensuels qui pourraient être développés par les candidats lors de la campagne officielle pour les élections présidentielles. Il vise à offrir une perspective de long terme de ce à quoi la société pourrait ressembler d'ici trente à cinquante ans si nous prenons un véritable virage écologique et humain et si nous opérons un changement concret de paradigme.
Si, ces dernières années, un grand nombre d'ouvrages et de films ont dénoncé les pires crises que traverse l'humanité, si d'autres se sont évertués à mettre en lumière des alternatives, force est de constater que très peu se sont attelés à la tâche d'offrir une vision articulée, écologique et positive de l'avenir. Loin des «yaka-fokon» et des déclarations d'intention pleines de bonne volonté, cet ouvrage met en lumière des solutions qui ont fait leur preuve, à petite comme à grande échelle, dans la plupart des domaines de la société. Pour chaque thématique, une personnalité «experte», ayant développé une vision du sujet - voire souvent conduit ou observé une expérimentation -, propose en quelques pages des voies de transition concrètes, ainsi que les moyens à disposition de tous, qu'ils soient citoyens, élus ou entrepreneurs, pour les mettre en action. Chacune de ces propositions s'appuie sur un «cas pratique» : un exemple concluant mené à l'échelle d'un territoire européen (canton, département, région.).
Au-delà d'une simple compilation, ces propositions sont mises en relation comme un véritable projet de société.
Marinette et Adrien sont deux collégiens presque comme les autres, à une différence près : ils ont été choisis pour sauver Paris du machiavélique Papillon. Leur mission : capturer les Akoumas, des papillons envoyés par le super vilain et qui changent les parisiens en super vilains. Pour cela, les collégiens disposent de leur amulette magique, le miraculous, et se métamorphosent en super héros : Ladybug et Chat Noir.
This book is a series of interviews between Lionel Astruc and Vandana Shiva, worldwide icon of ecological revolution and winner of the "alternative Nobel prize". Worthy successor to Gandhi, Vandana Shiva tells about her life and fight as a leader of the alter-globalization movement, underlining such important concepts as peace and democracy, but also ecofeminism and the importance of the preservation of our planet resources. Her purpose is to explain that there is no such thing as a useless act or, as she says, no "little nobody". Every single commitment matters: that is her message to the world.
En 2013, Christian Teyssèdre, maire de Rodez et président de la Communauté d'Agglomération du Grand Rodez, présentait une demande d'inscription au label "Pays d'Art et d'Histoire". En voici un court extrait, qui résume bien le fil conducteur de cet ouvrage: "Territoire à l'identité riche, ancré dans le présent et l'avenir, le Grand Rodez a choisi de faire de ses exceptionnels patrimoines et paysages des atouts de son développement durable... Dans le contexte de mise en valeur patrimoniale et de promotion de la qualité architecturale du Grand Rodez, le label "Pays d'Art et d'Histoire" est appelé à jouer un rôle essentiel"... Le prestigieux label était finalement octroyé dès 2014. Il ne nous restait plus alors qu'à vous le décliner, en images et en textes choisis. En hommage à cette ville un peu secrète, mais intrinsèquement ouverte à la découverte de notre monde d'hier et de demain...
Sorti en 2008, Martyrs est un film coup de poing, à la violence sèche, qui a failli être interdit aux moins de 18 ans. Le temps a fait son office, et le long métrage de Pascal Laugier est désormais considéré comme un joyau noir de la production de genre française.
Frédéric Astruc dégage ce qui fait la force de Martyrs, entre héritages visibles et enjeux inédits. Le film livre une expérience rare, semblable à un trip ou un shoot mais sans contrepartie toxique. Aux analyses s'adjoint un long entretien avec Pascal Laugier qui raconte comment il est parvenu avec Martyrs, de l'écriture au montage, à aller au bout de son propos, aussi radical soit-il. Le film apparaît ainsi comme la pierre angulaire du travail du cinéaste, l'expérience matricielle à partir de laquelle tout se déploie.
Plus de 40 chapitres autonomes, du Moyen Âge à l'histoire contemporaine, pour s'étonner, jubiler et parfois frémir à l'évocation d'anecdotes souvent méconnues au coeur de ce département aussi singulier que pluriel. En marge de l'histoire officielle, Paula et Olivier Astruc ont délibérément choisi de s'aventurer dans les broussailles des chemins de traverse ; à la recherche d'un passé simple recomposé. Déjà consacrée par le succès des Mystères de l'Hérault, cette démarche originale trouve son prolongement dans ce nouvel ouvrage, composé selon le même principe : une traque jubilatoire dans les coulisses de notre histoire. Nos deux auteurs se revendiquent volontiers comme « histoiriens ». Braconnant allègrement dans les archives officielles, autant qu'au ras de l'humilité de témoignages populaires, ils nous invitent à une surprenante balade vivement colorée dans les sous-bois les plus mystérieux de l'identité héraultaise.
« La narratrice de « L'Amant de mon Mari » découvre, à quarante-cinq ans, que son mari la trompe, après vingt ans de mariage.
Le désamour est une triste réalité des couples, mais elle comprend vite que sa rivale est un rival : son mari est devenu homo !
Son deuil amoureux se double alors d'une trahison de genre : comment finir par comprendre et accepter la bisexualité de l'homme qu'elle a aimé, le père de sa fille ?
Claire va évoluer, se questionnant sur sa propre sexualité, sur le mystère du Désir, et se donner une chance de devenir une autre femme, plus libre. »
Tour à tour journaliste, éditeur littéraire, éditeur musical, organisateur de concerts et impresario, Gabriel Astruc (1864-1938) fut aussi fondateur du Racing-Club de France et le maître-d'oeuvre des saisons des Ballets Russes de Diaghilew. Mais, surtout, il prit l'initiative de faire construire, avenue Montaigne à Paris, le Théâtre des Champs-Elysées, dont il fut le premier directeur. C'est sous son règne qu'eut lieu la création du ballet d'Igor Stravinski, Le Sacre du printemps, en mai 1913. Ruiné, mis en faillite six mois à peine après l'ouverture de ce Temple dédié à la musique et à la danse, traîné dans la boue par tous les antisémites de l'époque, c'est Marcel Proust qui lui apporta le réconfort de son admiration et de son amitié, allant jusqu'à lui proposer de l'aider à rédiger ces souvenirs, publiés en 1929, quelques mois avant la disparition de Serge de Diaghilew. Cette nouvelle édition du Pavillon des fantômes, augmentée de documents rares et inédits, remet enfin Gabriel Astruc à sa juste place : une place centrale dans la vie artistique de la première partie du XXe siècle. Personnalité forte, inclassable, prodigue, d'une grande sûreté de goût et de jugement, Gabriel Astruc a tout vu, tout compris, tout retenu de son temps , jugera son ami et collaborateur de toujours, le critique musical Robert Brussel. En ce sens, il ne fut pas seulement un observateur de son époque mais un acteur essentiel de la vie culturelle et un créateur irremplaçable qui contribua à faire du Paris de la Belle-Epoque la capitale artistique du monde. Olivier Corpet.
Du cirque au manga, du cinéma d'horreur et gore à la photographie réaliste et mortuaire, cet ouvrage invite le lecteur à un voyage dans les ténèbres jalonné d'éclairages, comme autant de garde-fous. En multipliant sa présence, l'horreur et ses représentations, qui fascinent autant qu'elles révulsent, tissent un réseau complexe d'a nités entre les disciplines. Ce dont rendent compte les auteurs sollicités au travers d'analyses convoquant les sciences humaines et les arts.
Les représentations de l'horreur sont multiples, balisant un sujet tabou qui implique fatalement la transgression, sujet « chaud » pour celui qui le traite, qui ne peut faire autrement que de s'engager psychologiquement et émotionnellement, de courir le risque de sa subjectivité.
Né en 1923, Alexandre Astruc signe ses premiers articles dans la presse littéraire sous l'Occupation, se lie d'amitié avec Sartre et Vian et publie son premier roman, Les Vacances (Gallimard, 1945) tout en suivant pour Combat le procès de Brasillach.
Mais l'écriture nourrit en lui une nouvelle passion : le cinéma. En 1948, deux articles-manifestes - « La caméra-stylo » et « L'avenir du cinéma » - font de lui le prophète du cinéma d'auteur et le « tonton de la Nouvelle Vague », ainsi que l'appellera Godard.
Passant de la théorie à la pratique, il met en scène son premier long-métrage, Les Mauvaises rencontres (1955). C'est le début d'une brillante série de films, ainsi qu'une collaboration à la télévision naissante, pour laquelle il adapte les chefs-d'oeuvre de Balzac, Maupassant (Une vie, 1958), Flaubert (L'Éducation sentimentale) et Poe (Le Puits et le Pendule, 1963).
Desnos, Cocteau, Vadim, Bardot, Sagan, Vilar, mais aussi Heidegger, Welles, Langlois, Bachelard, Queneau, Camus, Nimier et, bien sûr, toute l'équipe des Cahiers du cinéma. Astruc les a tous connus, tous sont au générique de ces entretiens.
Après sa première expérience de super héroïne, Marinette a des doutes : est-elle vraiment faite pour cela ? Mais les Géants de Pierre se réveillent et Paris a besoin de Ladybug et Chat Noir. Ensemble, ils vont se retrouver à la Tour Eiffel pour affronter leur leader, Coeur de Pierre, qui a enlevé Mylène. Nos justiciers vont découvrir celui qui se cache véritablement derrière cette attaque : le Papillon...
Si l'on en juge par l'accueil enthousiaste ayant accompagné le premier tome des Mystères du Tarn, il paraît évident que le lectorat de ce " pays vert du Midi " reste aussi fidèle que sensible aux émouvants chuchotements de ses racines les plus secrètes. Mais le sujet est d'une telle ampleur que nos deux auteurs, Paula et Olivier Astruc, avaient soigneusement conservé dans leur besace de passeurs de mémoire d'autres histoires tout aussi dignes d'intérêt. On retrouve dans ces Nouveaux Mystères du Tarn les mêmes tonalités d'écriture, entre rigueur de la documentation, sensibilité à tendance poétique et réalisme teinté d humanisme ; sans oublier quelques traits de gaillardise résolument populaire. Les ruses du substitut Granié, qui par deux fois sauva de la prison Apollinaire accusé du vol de la Joconde et de publications d'ouvrages libertins, sont relatées. " L'énigmatique assassinat du procureur de la République de Castres " et les méandres d un procès occulté par l'affaire Landru sont aussi revisités... C'est avec une exaltation intacte que Paula et Olivier Astruc nous proposent en partage ce surprenant défilé d'anecdotes pétries du corps et de l'âme de ce " païs ", forgeant l'envers si mystérieux de la grande histoire d'un terroir aux multiples facettes...