Le parcours de trois jeunes idéalistes dans la gauche engagée des années 70.En France, à la fin des années 60, le mouvement contestataire étudiant se propage au monde ouvrier. Dans le Quartier latin, la révolte sociale est en marche. Trois jeunes gens, Al, Sammy et Serge, participent au mouvement. Rejetant le capitalisme consumériste et le communisme orthodoxe incarné par le PCF, aspirant à une Société plus juste et plus libre, ils intègrent la Gauche prolétarienne, un groupuscule d'obédience maoïste. Rapidement, ils organisent des actions en faveur des ouvriers de l'usine Renault de Billancourt et jouent un rôle majeur dans les manifestations. Déterminés, ils préparent le « Grand Soir », le jour du triomphe de la révolution sociale. Mais un drame à l'usine Renault va marquer un tournant dans la lutte : l'assassinat à bout portant d'un camarade, Pierrot. L'escalade de la violence va mener la Gauche Prolétarienne à s'autodissoudre en 1973, avec un constat implacable : l'impossibilité de faire bouger les lignes. Pendant cette période politique trouble, chacun va prendre un chemin différent. Tandis que Serge rejoint la rédaction du journal Libération, Al et Sammy vont refuser de voir mourir leurs idéaux... Par les auteurs des Mystères de la République et d'Affaires d'État, Le Grand Soir est avant tout un grand cri de révolte, celui d'une jeunesse que le pouvoir refuse d'entendre. En forte résonance avec l'actualité, ce roman graphique à mi-chemin entre le récit historique et le polar s'attarde sur une page importante mais peu connue de notre histoire en nous invitant à suivre le parcours de trois jeunes idéalistes.
1945 - L'Armée rouge est aux portes de Berlin. Le 8 mai, le IIIe Reich capitule. Après son affectation à l'Est et son long séjour à Beelitz, Martin rentre dans sa ville natale qui, comme la plupart des villes allemandes, n'est plus qu'un champ de ruines. La population vit dans des conditions misérables : manque de nourriture, de médicaments, conditions sanitaires déplorables... Des individus peu scrupuleux profitent de la situation... Apparue dans le magazine (À SUIVRE) en 1997, la saga Amours Fragiles, saluée par la critique et le public, a reçu plusieurs récompenses prestigieuses. Avec ce 9? épisode, Beuriot et Richelle nous livrent la fin très attendue de l'une des séries les plus marquantes de ces vingt dernières années.
Le Dernier printemps est avant tout un roman d'amour. Martin Mahner, le héros, est un soldat de l'armée nazie posté dans le Sud de la France. Très vite on s'aperçoit qu'il est l'amant d'une Française, Catherine, venue s'installer en ex-zone libre avec son mari Xavier Gance, quelques années auparavant. Notre héros narre son histoire. Redémarrant sur un flash-back, le récit nous plante à Berlin, dans le décor sinistre de l'Allemagne de la crise et de la montée du nazisme. Mahner est un lycéen brillant, féru de littérature et plutôt timide avec les filles. Son père est sympathisant des SS, quelques uns de ses camarades de classe aussi. Romantique et solitaire, Martin s'inscrit en faux contre les dérives politiques malsaines auxquelles s'abandonne son entourage. Le docteur Braun et sa famille viennent s'installer dans la maison d'en face. Martin remarque immédiatement Katarina Braun, la fille du docteur.
Pègre et politique au Pays basque. Début des années 1980. Un commando lourdement armé fait irruption dans un bar de Bayonne et déclenche une fusillade sanglante. Bilan : deux morts et un blessé grave. Le commissaire Pommard et son équipe sont chargés de l'enquête. L'une des victimes décédées, Iban Calzada, était un Basque espagnol établi en France depuis quelques années. La seconde, Frankie Van Herke, dirigeait une boite de nuit, le Star One. La fusillade s'inscrit-elle dans la longue liste d'exécutions non élucidées d'indépendantistes basques espagnols de l'ETA sur le sol français ? Ou s'agit-il d'un règlement de comptes en lien avec le night-club de Frankie Van Herke ? Tandis que Pommard rencontre son ami Aubenas, une pointure des Renseignements Généraux, afin de récolter plus d'informations, le jeune inspecteur Lévêque s'intéresse à l'entourage de Van Herke, qui semble tremper dans la pègre. De son côté, le « commando noir » accueille un nouveau membre...
Quand le passé nous rattrape ...Washington, 1964. Pendant que Rossenko, un ex-agent de l'Est, est prêt à faire des révélations chocs au FBI, la tension monte en France. De toute évidence, il y aurait une taupe du KGB dans l'entourage du général de Gaulle ! Au sein du SDECE, l'agent Ogier, chargé de mener l'enquête, identifie rapidement trois suspects, tous des gaullistes fidèles. Parmi eux, un profil attire tout particulièrement l'attention. Les masques ne vont pas tarder à tomber... Ogier découvre la double identité de la violoniste Lola Petrescu tandis qu'outre Atlantique, Rossenko est pris à son propre jeu et incarcéré par la CIA. Alors que les investigations se poursuivent, un coup de théâtre va ébranler l'ensemble du SDECE : et si la fameuse taupe était sous leurs yeux depuis le début ?
Lorsqu'on quitte Martin Mahner à la fin du 7?e tome de la série Amours fragiles il déserte par crainte d'être poursuivi pour complicité passive dans l'attentat manqué contre Hitler. Il se trompe : il ne sera considéré que comme déserteur un parmi beaucoup d'autres en cette période de chaos qui préface l'effondrement de l'Allemagne nazie. Outre l'obligation pour Martin de vivre dans la clandestinité on assiste à la fin du 3?e Reich suite aux offensives conjuguées des Anglo-Américains - à l'Ouest - et de l'Armée Rouge - qui fait fuir vers l'Ouest des milliers d'Allemands dans des conditions apocalyptiques : l'hiver est particulièrement rigoureux... et les soldats soviétiques entendent solder leurs comptes.
On ne négocie pas avec des poseurs de bombesMilieu des années 1980. Paris est secouée par des attentats meurtriers revendiqués par un mystérieux comité, le CSPPA. Face à la gravité de la situation, la DST et la DGSE vont devoir travailler main dans la main pour trouver des renseignements fiables sur ce groupe qui demande la libération de trois terroristes détenus en France. Sur l'ensemble du territoire, le gouvernement lance de vastes opérations de recherches dans les milieux islamiques en collaboration avec la PJ et les RG. Mais les interpellations ne permettent pas d'identifier des suspects et les attentats continuent d'ensanglanter la capitale. De piste en piste, l'inspecteur Crémieux et son équipe vont réaliser que derrière le CSPPA se cache une faction armée beaucoup plus violente... Dans une course effrénée contre la montre, la DST nous embarque au coeur des réseaux islamiques et des affaires sensibles au Moyen-Orient.
Paris, décembre 1938. Martin, le jeune étudiant en littérature du Dernier printemps (le volume 1 d'Amours Fragiles) vit désormais à Paris. Il y est devenu une sorte de réfugié politique, fuyant un régime nazi qu'il exècre sans toutefois avoir jamais osé le combattre ouvertement. Menacé par la précarité qui touche la plupart des Allemands réfugiés en France, sous la pression constante des événements qui préfigurent la guerre à venir, le jeune homme s'efforce jour après jour de préserver une situation incertaine, sans trop savoir ce qu'il convient de faire de son existence. C'est dans ces circonstances troubles qu'il retrouve dans la capitale française son ancienne voisine d'autrefois, Katarina, jeune juive allemande elle aussi arrivée en France quelques années auparavant, à la mort de ses parents...
1943. Après avoir tenté en vain de fuir le régime nazi, Martin, autrefois jeune étudiant en littérature en rébellion et en rupture de ban, sert l'Allemagne sous l'uniforme d'officier de la Wehrmacht, dans le sud-est de la France. Son affectation lui permet de continuer à protéger Katarina, son ancienne voisine d'autrefois, juive allemande réfugiée à qui il a fourni de faux papiers. Contraint de rejoindre l'Allemagne pour y enterrer son père, Martin découvre que la situation s'y est considérablement tendue. Déjà aux abois, pressentant les signes avantcoureurs d'une défaite annoncée, le régime nazi, de plus en plus paranoïaque et totalitaire, fait peser une pression considérable sur toutes les consciences, obsédé par la traque de l'ennemi de l'intérieur...
Martin a été blessé sur le front de l'Est. Après sa convalescence, et grâce à quelques appuis, il est caserné en Allemagne, loin des combats. Se croyant à l'abri, il ignore qu'un danger encore plus grand le menace : il se trouve au sein d'un nid d'opposants au Führer qui préparent la funeste opération Walkyrie... Bien que son petit grade ne lui confère aucune importance dans cette conspiration de hauts gradés, il ne pourra éviter la compromission et donc une possible issue létale.
Printemps 1943, sud-est de la France. Martin est revenu occuper son poste d'officier allemand après être allé enterrer son père en Allemagne. Très vite, il cherche à retrouver Katarina, devenue Catherine. Mais celle-ci a quitté les lieux pour Lyon, où elle a rejoint André-Louis, passé depuis peu dans la clandestinité. Tandis que Martin s'interroge sur son avenir - on soupçonne un général récemment arrivé de Berlin de vouloir réduire les effectifs de la Wehrmacht en France pour renforcer le front de l'Est -, Catherine saute le pas et décide de s'engager dans la Résistance... « 1932. L'Allemagne traversait une crise sans précédent. Mon père, comme de nombreux compatriotes, voyait en Hitler le seul homme capable de la redresser. Je désapprouvais en silence... C'est à cette époque que Katarina vint habiter en face de chez nous. Je découvrais des sentiments inconnus jusqu'alors... Les choses auraient pu être simples, s'il n'y avait eu ma timidité et, surtout, l'arrivée des Nazis au pouvoir...»
Octobre 1940. Caserné dans la région de Cologne où il s'ennuie ferme, Martin s'efforce d'obtenir sa mutation à Paris, espérant secrètement pouvoir y retrouver Katarina, son ancienne voisine d'autrefois, juive allemande réfugiée dans la capitale française. Pendant ce temps, à Paris justement, Katarina est devenue Catherine. Très discrète sur la question de ses origines, la jeune femme y est témoin du durcissement accéléré des dispositions antijuives orchestrées par le régime de Vichy. En ligne de mire, parmi tant d'autres, son oncle Pierre, petit industriel patriote et ancien combattant de 14-18, qui va se voir brusquement dépossédé de l'entreprise qu'il dirige au seul motif qu'il est israélite...
Le tout nouvel épisode de la grande série de Beuriot et Richelle. Été 1943. Les craintes de Martin Mahner s'avèrent fondées : il est réquisitionné, comme tant d'autres soldats allemands, pour renforcer le front de l'Est. Alors que Katarina devenue Catherine entre à la même époque dans un groupe de résistants au sud de la France, il est expédié dans une petite ville à l'est de l'Ukraine. Làbas, miné par sa propre lâcheté, le jeune lieutenant observe, impuissant, les dégâts infligés par l'occupant allemand et les massacres perpétrés en parallèle par l'Armée rouge, dont les coups de boutoirs sont de plus en plus sanglants. Progressivement, Martin se lie d'amitié avec son camarade de chambrée, le lieutenant Stefan Paetz, un jeune homme beaucoup plus pragmatique...
Dans les arcanes de l'extrême droite française.Affaire d'état : « affaire politique qui implique des membres du gouvernement d'un État ou de plusieurs États ». Elles foisonnent, aucun pays n'y échappe et pourtant elles sont régulièrement occultées. S'inspirant librement de la réalité des faits, Philippe Richelle se propose de revisiter dansAffaires d'États, trois événements qui ont ébranlé l'état français dans les années 60, 70 et 80. Chacune de ces décennies aura le droit à un cycle indépendant - composé de quatre tomes - qui sera mis en images par un dessinateur différent : Régis Penet pourGuerre froide, Pierre Wachs pourExtrême-droiteet Alfio Buscaglia pourJihad. Une série-concept ambitieuse de polars historiques et d'espionnage soutenue par une publication exceptionnelle puisque les trois premiers tomes sortiront le même jour.En 1978, Francis Dupré, brillant historien, financeur et théoricien du PN (Parti National) - dirigé par Jean-Maurice Le Guen - est abattu devant sa résidence secondaire de Normandie. L'enquête s'annonce complexe, l'homme a de nombreux ennemis et les menaces de mort lui sont coutumières. Sa place au sein d'un parti d'extrême droite aux idées proches du régime de Vichy le rend désagréable pour de nombreux groupes et individus. Et l'affaire prend même un tour étrange lorsque l'un des protagonistes du meurtre est retrouvé mort à son domicile, pendu au bout d'une corde. La PJ ne le sait pas encore mais, pour mener à bien son enquête, elle va devoir déterrer de sombres histoires et fouiner dans le passé sordide d'individus aux relations discutables: collabos blanchis sous le harnais, ancien poujadistes ou soldats perdus des commandos de l'OAS...Dans Extrême-droite, une équipe de la PJ doit composer avec un dossier mêlant les indépendantistes basques, des commandos franquistes et la droite extrême française des années 70.
Haute trahison ?En 1963 l'agent Fred Ogier est de retour à Paris, après avoir réussi à s'extirper de Vienne. Une nouvelle mission l'attend à la SDECE - le service d'espionnage français. Se pourrait-il que le colonel Hainaut, membre éminent de la maison soit un agent du KGB ? La bonne coopération entre les Etats-Unis et la France s'avère nécessaire pour lever le voile sur cette affaire. Au même moment, dans une petite ville américaine, le docteur Murphy est sauvagement décapité. Le FBI s'empare de l'enquête. De son côté, l'agent du KGB, Trifonov passé à l'Ouest, est traité avec les plus grands égards par les Américains. S'il continue de faire des révélations, certaines pourraient devenir bien embarrassantes pour la France. Plusieurs affaires s'entrecroisent dans ce second tome passionnant qui nous fait voyager dans l'URSS communiste, l'Amérique de Kennedy et la France du général De Gaulle.
Espionnage et contre-espionnage.Affaire d'état : « affaire politique qui implique des membres du gouvernement d'un État ou de plusieurs États ». Elles foisonnent, aucun pays n'y échappe et pourtant elles sont régulièrement occultées. S'inspirant librement de la réalité des faits, Philippe Richelle se propose de revisiter dans Affaires d'État, trois événements qui ont ébranlé l'État français dans les années 60, 70 et 80. Chacune de ces décennies aura le droit à un cycle indépendant - composé de quatre tomes - qui sera mis en images par un dessinateur différent : Régis Penet pour Guerre froide, Pierre Wachs pour Extrême droite et Alfio Buscaglia pour Jihad. Une série-concept ambitieuse de polars historiques et d'espionnage soutenue par une publication exceptionnelle puisque les trois premiers tomes sortiront le même jour.
Décembre 1961. Un agent du KGB du nom de Trifonov passe à l'ouest via la Finlande. Il trouve asile aux États-Unis où il est pris en charge par le patron du service de contre-espionnage de la CIA, un anticommuniste virulent. Pour l'essentiel, les révélations de Trifonov concernent la France : il y aurait des taupes soviétiques au siège de l'OTAN à Paris et au sein du SDECE, le service d'espionnage français. L'agent Fred Ogier, chargé du dossier et missionné pour débusquer les traitres, va devoir démêler les noeuds d'une vaste enquête de contre-espionnage dont l'ampleur lui échappe encore...
Les armes cachées de la France. Affaire d'état : "affaire politique qui implique des membres du gouvernement d'un Etat ou de plusieurs Etats" . Elles foisonnent, aucun pays n'y échappe et pourtant elles sont régulièrement occultées. S'inspirant librement de la réalité des faits, Philippe Richelle se propose de revisiter dans Affaires d'Etats, trois événements qui ont ébranlé l'état français dans les années 60, 70 et 80.
Chacune de ces décennies aura le droit à un cycle indépendant - composé de quatre tomes - qui sera mis en images par un dessinateur différent : Régis Penet pour Guerre froide, Pierre Wachs pour Extrême-droite et Alfio Buscaglia pour Jihad. Une série-concept ambitieuse de polars historiques et d'espionnage soutenue par une publication exceptionnelle puisque les trois premiers tomes sortiront le même jour.
1985. Le bureau de l'inspecteur Crémieux reçoit l'appel d'un collègue basé à Tour. On a soufflé à ce dernier le prologue d'une histoire qui risque de connaître son lot de péripéties. Un ragot brulant concernant la société d'armement Werner et qu'il préfère transmettre au bureau parisien de la DST. Il y a trois ans, alors que les affaires vont mal pour la compagnie Werner, l'entreprise signe un contrat lui permettant de renflouer ses caisses.
Seul problème : la destination des armes et des munitions livrées par le biais de cet accord juteux est inconnue. Il semblerait que les marchandises de la société s'acheminent jusque dans un pays où les armes françaises sont interdites. Mais lequel ? Pour le savoir, rien de plus simple : s'infiltrer sur un cargo où sont entreposés les produits Werner et les suivre jusqu'à leur destination finale...
Un des équipiers de Crémieux se voit alors tout désigné pour cette mission. L'inspecteur Mallet est jeune et célibataire depuis tout récemment, il est le parfait candidat pour un voyage vers l'inconnu. Car il ne sait ni où il s'arrêtera, ni combien de temps son périple durera. Dans Jihad, l'enquête de la DST s'embarque vers le Moyen-Orient, rôde dans les bureaux du gouvernement français et nous emmène jusque sur les traces des premières manifestations islamiques sur le territoire métropolitain.
Un scandale qui risque de coûter cher.
1985. Alors que la firme Werner s'apprête à vendre des armes à l'Iran avec la complicité de l'Etat français, Morin, un agent de la DST pourrait entraver cette juteuse transaction. Emprisonné en Iran, il arrive à s'enfuir dans des circonstances rocambolesques vers la Syrie. Se croyant sauvé, il va déchanter quand deux hommes mandatés par le DGSE tentent de l'éliminer. Pendant ce temps, la DST attend toujours le retour de son agent ! Blessé, livré à lui-même, Morin s'engouffre dans le désert syrien, tandis qu'en France des révélations choc paraissent dans la presse et éclaboussent les plus hautes sphères du pouvoir.
Lettre mortelle.
Affaire d'état : « affaire politique qui implique des membres du gouvernement d'un État ou de plusieurs États ». Elles foisonnent, aucun pays n'y échappe et pourtant elles sont régulièrement occultées. S'inspirant librement de la réalité des faits, Philippe Richelle revisite trois événements qui ont ébranlé l'État français dans les années 60, 70 et 80. Chacune de ces décennies à un cycle indépendant - composé de quatre tomes - et mis en images par un dessinateur différent. Une série-concept ambitieuse et documentée de polars historiques et d'espionnage.
En 1978, Francis Dupré, brillant historien, financeur et théoricien du Parti National est froidement abattu. Le commissaire Pommard en charge de l'affaire continue son investigation. Mais l'enquête piétine après l'assassinat d'un témoin : la jeune Monique. Dupré, habitué aux menaces de mort, rédigeait un livre d'entretiens sulfureux au moment de son assassinat. Peu à peu les inspecteurs vont déterrer des preuves sordides grâce à Monique, qui a adressé une lettre à la police juste avant sa disparition ! Pommard et son équipe vont alors remonter le fil de l'histoire et apprendre plus qui n'en fallait sur Dupré ! Et s'il travaillait pour le Mossad ? L'enquête va prendre une tournure inattendue et les amener sur les traces des collabos blanchis et des soldats perdus des commandos de l'OAS jusqu'à la frontière espagnole...
Plus rien ne peut arrêter l'escalade de la violence.
Algérie, hiver 1956. Selon certains, le conflit qui a démarré deux ans auparavant pourrait bientôt prendre fin mais André reste dubitatif... Les violences ne s'atténuent pas. Pire, les attentats sont maintenant monnaie courante. Larbi Ben M'hidi, membre fondateur du FLN, suit tout ceci de près. Un matin, Amédée Froger est abattu en pleine rue et Alger s'embrase! L'air y devient irrespirable entre le couvre-feu et l'omniprésence des paras. Bientôt, un mouvement de grève général menace de paralyser tout le pays. Dans ce contexte houleux, Loulou est recruté par les hommes de Robert Lacoste pour tenter d'arrêter les meneurs. Une chasse à l'homme impressionnante va se mettre en place dans ce pays au bord de l'implosion... Le FLN vit-il ses dernières heures ?
Avec ce 3ème opus Philippe Richelleet Alfio Buscaglia poursuivent leur exploration des méandres obscurs de l'histoire de l'Algérie. Une série passionnante, grand public, nourrie aux meilleures sources documentaires, qui permet de mieux comprendre ces années noires de notre passé récent dont on s'évertue à dissimuler les cicatrices pourtant indélébiles...
Il est loin, le temps de l'innocence.
1955. Rentré à Paris, André fréquente les milieux intellectuels et découvre comment le conflit algérien est perçu en métropole. Loulou, lui, combat les maquisards du FLN dans le massif des Aurès. C'est dans ce cadre qu'il est recruté par un officier des services secrets français et pratique, pour la première fois, la torture. De l'autre côté, Mo, devenu agent dormant du FLN, commence à intervenir indirectement pour des opérations d'attentat...Après Les Mystères de la République, Philippe Richelle poursuit son exploration des méandres obscurs de l'histoire de France à travers cette série illustrée par Alfio Buscaglia. Algérie, une guerre française : un récit passionnant, grand public, nourri aux meilleures sources documentaires, qui permet de mieux comprendre ces années noires de notre passé récent dont on s'évertue à dissimuler les cicatrices pourtant indélébiles...
Les chroniques d'une guerre. Le récit d'une déchirure.Alger, octobre 1954. Une poignée d'hommes met au point les derniers préparatifs d'une opération militaire qui durera huit ans. Ils sont six. Six hommes pour gagner l'indépendance de leur pays. L'Histoire les appellera les « Fils de la Toussaint. »Dix ans plus tôt, alors que s'achève la Seconde Guerre mondiale, un groupe d'écoliers aux origines diverses grandit dans l'Algérie plurielle, déjà secouée par des tensions naissantes. Ils sont fils de résistant, Pieds-noirs ou musulmans, tous unis par les liens très forts de l'enfance.Les « événements d'Algérie », comme on les appelait pudiquement à l'époque, vont bouleverser le cours de leur existence...Après Les Mystères de la République, Philippe Richelle poursuit son exploration des méandres obscurs de l'histoire de France à travers une nouvelle série de bande dessinée illustrée par Alfio Buscaglia. Algérie, une guerre française : un récit passionnant, grand public, nourri aux meilleures sources documentaires, qui permet de mieux comprendre ces années noires de notre passé récent dont on s'évertue à dissimuler les cicatrices pourtant indélébiles...
L'union fait la force.
Londres, octobre 1943. Sous l'impulsion du général de Gaulle, le BCRA (Bureau Central de Renseignements et d'Actions clandestines de la France Libre) met une priorité à unifier la Résistance en France, pour le moment déchirée entre les gaullistes et les partisans de l'ancien général vichyste Henri Giraud. À Paris, le commissaire Peretti est chargé d'aller rencontrer le responsable du mouvement giraudiste Renaissance : un dénommé Féval. Mais il ignore que derrière ce nom de code se cache une vieille connaissance qu'il aurait préféré ne pas recroiser...