Qui sait aujourd'hui que Louis Mazetier fut l'un des cartonniers et maîtres verriers les plus créatifs et les plus originaux de son temps ? Ce Vendéen, né en 1888 à Saint-Michel-en-l'Herm , fut l'une des figures éminentes de l'art sacré français des années 1930 à 1950. L'oubli de son oeuvre par le public et les historiens de l'art eux-mêmes confine à l'injustice.
UN LIVRE : En retraçant sa carrière, depuis ses études à l'École nationale des beaux-arts de Paris dans les ateliers de Raphaël Collin, puis de Fernand Cormon, jusqu'à son décès le 20 mars 1952, non sans évoquer la commande d'une verrière pour les baies hautes de la nef de Notre-Dame de Paris que lui passa le service des Monuments historiques en 1936, la biographie alerte et documentée rédigée par Yves-Jean Riou sauve cet artiste original de l'oubli.
UN DVD : Un film de 52 minutes réalisé par Pierre Buquet et Yves-Jean Riou. Tourné en 2002-2003, le film retrace le cheminement de Mazetier grâce à des visites d'édifices et des entretiens avec certains témoins.
Augmenté d'une carte interactive des lieux où Louis Mazetier travailla qui permet de visualiser son oeuvre de maître verrier à travers près de 500 images.
C'est au Moyen Âge que les deux principaux possesseurs de l'île de Ré lui imprimèrent sa physionomie actuelle : l'abbaye de Saint-Michel-enl'Herm, qui créa et développa de nombreuses salines dans les îles d'Ars, de Loix et des Portes, et les sires de Mauléon, à l'origine de la fondation de l'abbaye Notre-Dame-des-Châteliers, qui firent de la partie orientale de l'île un pays de vignobles.
L'île de Ré a longtemps eu un rôle stratégique d'avantposte militaire : de la Rochelle durant la guerre de Cent Ans et les guerres de Religion, puis de Rochefort après la création de l'arsenal royal, et enfin de la base sousmarine de la Pallice pendant la Seconde Guerre mondiale.
Des documents et de nombreuses photographies commentées présentent ici le patrimoine lié à cette histoire : ports et phares, architecture militaire, édifices religieux et leur mobilier, maisons et demeures.
Paru en 1998, cet ouvrage très illustré vous invite à découvrir l'histoire et le patrimoine de la région Poitou-Charentes.
Depuis 1968, les chercheurs et les photographes du service régional de l'inventaire de Poitou-Charentes sillonnent en tout sens la région pour en recenser, en étudier et en faire connaître le patrimoine monumental et mobilier, commune par commune, maison par maison. Ils ont ainsi amassé plusieurs dizaines de milliers de photographies concernant des milliers d'édifices et d'objets.
Pour célébrer, en 1998, le trentième anniversaire de cette aventure, ils ont choisi parmi ces documents ceux qui apportent le plus de nouveauté sur ces témoins du passé régional que sont le patrimoine protestant, les objets du culte et le décor des églises du 19e siècle, l'architecture rurale, le mobilier rustique régional, les écoles du 19e siècle et le patrimoine industriel. Quelques édifices détruits, transformés ou changés d'affectation durant les dernières décennies y font également l'objet de notes brèves. Un magnifique ouvrage donc, au contenu inédit et abondamment illustré, à l'attention de tous ceux que l'histoire du Poitou-Charentes et de son patrimoine passionne.
De Jacques Brel à Jean Vilar en passant par Jean Ferrat, Gérard Philipe, Édith Piaf, Simone Signoret ou encore Boris Vian : comme elle est longue, la liste des artistes que Jean-Yves Riou a rencontrés durant un quart de siècle consacré au spectacle ! Certains même, tels Georges Brassens, Serge Reggiani et Georges Moustaki, devinrent de véritables amis.
Mais rien de tout cela ne serait arrivé si l'auteur n'avait à dix-sept ans croisé les pas d'un certain Jo Tréhard, qui allait faire les beaux jours de la vie culturelle caennaise pendant plus de vingt ans. Un lien indéfectible se noua dès les premiers instants, que seule la mort prématurée du grand metteur en scène, en 1972, parviendra à briser.
Ce récit tendre et drôle rassemble les souvenirs de ces formidables années - et beaucoup d'autres encore. Il est celui d'un homme dévoué corps et âme à ses passions de toutes sortes : artistiques, techniques et, surtout, humaines.
Située au large de la Pointe du Raz, la petite île de Sein, contrairement à Ouessant ou Batz, ne permet pas l'implantation d'exploitations agricoles. Pas d'autre alternative pour les hommes de l'île que d'embarquer. Les eaux alentours, autant poissonneuses que dangereuses, ont permis aux Sénans de pratiquer toutes sortes de pêche (palangre, casier, filet) et de développer une culture originale.
