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Déroulant ses gradins depuis les Alpes du Sud jusqu'à la Méditerranée, l'amphithéâtre provençal est une terre de soleil et de paysages variés qui séduit et accueille les hommes depuis toujours. Certains d'entre eux se sont distingués dans des domaines aussi divers que l'art, la culture, la religion, la politique, l'économie, l'armée. Natifs de la région ou en terre d'adoption, ils ont tous laissé un souvenir indélébile dans l'histoire de la Provence. Au fil des pages, Henri Joannet vous invite à découvrir en images ces personnalités hors du commun, connues ou moins connues, qui ont porté haut les couleurs du pays provençal.
La truffe a connu son ge d'or, en production comme en vente, dans les premires dcennies du XXe sicle. C'est ce temps rvolu que nous prsente Francis Berger, l'aide de photographies et cartes postales anciennes. Chaque anne aprs le cavage, c'est--dire la rcolte, depuis les dernires semaines de novembre et jusqu'en mars, les marchs se succdaient, parfois chaque jour comme Terrasson o s'changeait un des plus forts tonnages. De Sarlat Salignac, de Nabirat Montignac et Thenon, particuliers et marchands se rencontraient autour de la perle noire, bien cache dans des paniers recouverts d'un linge blanc. On ngociait ferme, certes, mais en toute discrtion. Avant de retrouver la truffe dans tous ses tats en feuilletant ces pages, pourquoi ne pas vous munir de votre bton et de votre meilleur cochon, et partir sur une terre maigre et caillouteuse, l'ombre des chnes et des noisetiers ? La promesse d'une rcolte savoureuse n'est pas loin !
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La transhumance remonte à la nuit des temps.
En Provence, depuis l'époque romaine vraisemblablement, les troupeaux ovins sont déplacés pour l'été, afin qu'ils bénéficient de l'herbe nouvelle, vers les pâturages au pied des sommets des Alpes.
Inversement, des troupeaux élevés en montagne gagnent la plaine en hiver.
Associant l'Homme, l'animal et le cycle végétal, cette migration saisonnière a marqué la mémoire collective.
Elle s'est longtemps déroulée à aujourd'hui sous d'autres formes.
Déjà auteur de nombreux ouvrages aux Editions Sutton, Henri Joannet présente cette tradition ancestrale à partir d'une iconographie ancienne et diversifiée.
Après un premier tome paru en 2006, Jérôme Baconin vous propose 15 nouveaux portraits d'Auvergnats qui ont joué un rôle important dans l'histoire de notre pays. Certains sont restés fameux, d'autres moins, mais tous ont eu leur heure de gloire et depuis, rues, places ou monuments leur rendent hommage. Qui, parmi vous, connaît le Delille de la fameuse place clermontoise ou encore Jean Domat, ce grand juriste ami de Pascal ? Terre de Dieu, l'Auvergne a vu naître de grands saints tels Austremoine ou les grands abbés de Cluny, sans oublier Grégoire de Tours sans qui nous ne connaîtrions pas aussi bien l'histoire de Clovis et des Mérovingiens. On trouve également de grands militaires à l'instar du maréchal de Turenne ou du général Delzons, héros malheureux des campagnes napoléoniennes. Et saviez-vous que le connétable Bertrand du Guesclin avait péri en terre auvergnate ? De la politique à la religion en passant par l'aviation, cet ouvrage vous propose de découvrir en images ces grands hommes qui ont porté haut les couleurs de l'Auvergne.
Le département des Alpes-de-Haute-Provence était dénommé Basses-Alpes entre 1790 et 1970. La population, installée à 90 % dans l'agriculture à la fin du XVIIIe siècle, comptait moins de 10 % de paysans dans les années soixante-dix. Cette évolution, commune à bien d'autres départements, s'est doublée d'un fort dépeuplement car la terre était bien trop ingrate pour le nombre d'habitants qu'elle avait à nourrir.
Ce changement d'appellation de notre département a donc accompagné le passage d'une société rurale en difficulté à une économie en forte croissance qui démarra dans les années soixante et à laquelle les Alpes-de-Haute-Provence participèrent.
La noble intention qui anime ici Henri Joannet est de témoigner de cette évolution à l'aide d'une iconographie irremplaçable constituée de cartes postales anciennes. Ces magnifiques documents, ceux situés entre 1900 et 1914 ayant été privilégiés, offrent une juste et belle photographie de cette époque.
Après la victoire écrasante de l´Allemagne sur la France en 1871, 1914 marque le début d´un nouveau face à face pour les armées allemande et française. Une fois de plus, l´Allemagne a prévu d´écraser la France dans une guerre-éclair. Dès le mois d´août 1914, le sort des armes semble donner raison aux troupes du Kaiser. Mais l´extraordinaire résistance du soldat français, le légendaire poilu, déjoue les plans de l´ennemi. Des prémices au déclenchement lui-même, en terminant par les batailles qui formèrent ce qu´on appela la guerre de mouvement, Gilles Vauclair évoque la première année de la Grande Guerre à travers une série de documents iconographiques allemands et français pour la plupart inédits.
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Deuxième ville française par sa population, Marseille compte 111 quartiers répartis dans seize arrondissements. Après le succès du premier tome consacré aux 1er, 2e et 3e arrondissements, la visite des quartiers marseillais se poursuit. Ce sont cette fois les 4e, 5e, 6e et 7e arrondissements qui se dévoilent au fil des pages. Du quartier Saint-Victor, fondé par les Grecs, à celui de Notre-Dame, lieu d´une très ancienne dévotion médiévale, en passant par l´îlot d´If, à l´entrée du Vieux-Port, sur lequel trône une magnifique forteresse Renaissance, vous êtes encore au coeur historique de la ville. Mais en vous éloignant du centre, vous rencontrez des quartiers « neufs », ceux qui commencent leur extension au XVIIe siècle et la poursuivent, ou pour certains la commencent, lors du XIXe triomphant tels les Cinq Avenues, Lodi ou Baille. L´historien Michel Méténier et le collectionneur Fernand Revilla ont, une nouvelle fois, réuni leurs compétences pour vous présenter un recueil exceptionnel rassemblant plus de 170 cartes postales et documents anciens.
Grasse doit essentiellement sa prospérité au caractère industrieux de ses habitants qui ont su tirer parti d une situation privilégiée, entre mer et montagne, et d un climat d une douceur exceptionnelle. Les ressources végétales naturelles ont favorisé l élevage et la culture des plantes nécessaires à la tannerie, à laquelle a succédé la parfumerie. A la fin du XIXe siècle, l arrivée du chemin de fer permet de développer une villégiature de luxe et, à partir de 1936, l avènement des congés payés attire un important tourisme de masse. Il est donc tout naturel qu une région présentant autant d atouts ait vu naître, dès les débuts de la photographie, autant de vocations : citons les photographes Charles Nègre, Félix Busin ou Victor Guizol, ou le banquier Jean Luce, amateur éclairé. A la fin du XIXe siècle, la carte postale connaît son âge d or. De grandes agences envoient des photographes pour assurer une couverture des lieux pittoresques : Grasse est alors abondamment « mitraillée » par Neurdein, Leroy et Lévy... Marie-Christine Grasse a choisi de présenter quelques aspects de la vie de la cité, en s appuyant sur une abondante iconographie réunie au sein des collections du musée d Art et d Histoire de Provence ainsi que sur des chroniques contemporaines pour la plupart inédites. Marie-Christine Grasse, conservatrice des musées de la ville de Grasse, signe ici son troisième ouvrage aux Editions Alan Sutton.
Plus d'une centaine de cartes postales anciennes vous invitent à découvrir la Marne au début du XXe siècle : sur ses coteaux, déjà, les fameux ceps qui ont fait sa réputation et, plus loin, ses Maisons et caves de champagne mais aussi l'industrie textile, moins présente aujourd'hui. Au fil des pages, les images présentent des paysages et des rues qui vont être meurtris ou détruits lors de la première guerre mondiale. Elles montrent également la Marne pansant ses plaies, se reconstruisant et se souvenant des combats et des morts. Un album souvenir sur la Marne de la Belle Epoque, connue alors pour son vin, pas encore pour avoir été le théâtre d'une prodigieuse bataille.
Sur les documents anciens qui nous présentent la Petite France, une haute cheminée industrielle étonne : il s´agit là des bains Napoléon, un des établissements que fréquentaient nos grands-parents pour y pratiquer l´hygiène corporelle avant la généralisation des salles de bains individuelles. En passant par Sainte-Marie-aux-Mines, Colmar, Guebwiller, Mulhouse ou Strasbourg, découvrez l´histoire de ces bains dont certains sont encore en service aujourd'hui. Loin de la mer, les Alsaciens ont recherché, depuis des siècles, les plaisirs de la baignade dans le Rhin, fleuve mythique, dans les rivières ou dans les lacs vosgiens. L´eau n´est-elle pas promesse de santé, comme en témoigne le développement des stations thermales alsaciennes à la fin du XIXe siècle ? L´auteur présente ici plus de 200 cartes postales anciennes, photographies et documents commentés avec précision pour nous éclairer sur un thème aux multiples facettes. Il évoque ainsi des aspects méconnus de la vie d´autrefois, de l´histoire des pratiques sportives et du patrimoine alsacien.
Ce second volume consacré à Chalon-sur-Saône s'intéresse surtout à la Saône et au canal du Centre qui traversaient la ville au début du XXe siècle. Les activités fluviales sont à cette époque encore nombreuses, malgré le développement et la concurrence du rail. Les chantiers navals de la route de Lyon, les usines du Petit Creusot, les activités portuaires du Grand Bassin du Canal rythment la vie chalonnaise. Sylvain Cousson nous propose une balade dans le temps, où l'on retrouve les plates arrimées aux quais, l'embarcadère du Parisien mais aussi la halle aux grains ou la rue de Paris.
Les cartes postales anciennes permettent de revenir sur un passé qu'apprécieront les Chalonnais et que découvriront les autres.
Commencée en 1843 avec l'ouverture de la voie ferrée en provenance de Paris, l'histoire ferroviaire orléanaise n'a jamais cessé d'évoluer, faisant face aux aléas provoqués par les guerres, la concurrence automobile ou encore les particularités de la géographie locale. Le rail a même connu un renouveau certain depuis l'an 2000 avec la mise en service d'une première ligne de tramway moderne entre Fleury-les-Aubrais et l'hôpital de la Source, suivie en 2012 par la création d'une seconde ligne et prochainement par la réhabilitation des voies ferrées menant à Chartres et à Châteauneuf-sur-Loire. Ancien conducteur de bus et de tramways à Orléans entre 2000 et 2006, Pierre Bazin, qui travaille désormais à la RATP, est l'un des nombreux navetteurs qui empruntent chaque jour le train pour rejoindre la capitale. A l'occasion de l'ouverture du nouveau tramway entre La Chapelle-Saint-Mesmin et Saint-Jean-de-Braye, il évoque, à travers sa collection de photos et de cartes postales, la riche histoire ferroviaire de la cité johannique.
Au travers de photographies et de cartes postales anciennes, nous retrouvons une seconde fois Annonay pour une balade au fil de l'eau et à travers les rues de la ville.
Le quotidien de toute une époque aujourd'hui révolue s'anime au travers de ce parcours. Annonay, capitale du cuir, prend ainsi ses atours de cité laborieuse. Le livre retrace les évolutions de ces activités avec le temps car les hommes ont su s'adapter et innover en créant de nouvelles industries.
Par ailleurs, une très riche iconographie met en valeur l'histoire du logement, de nombreux événements locaux mais aussi les fêtes et loisirs des habitants.
Chacun sait que la Provence subit un climat chaud et sec. La région n'est pas dépourvue d'eau, mais cette dernière manque, surtout en été, et devient la préoccupation majeure de ses habitants. Et pas seulement pour le pastis ! L'absence de pluies estivales, l'irrégularité et le faible débit des sources, l'inégale répartition des moyens ont contraint les hommes à trouver des solutions car, sans eau, il n'y a pas de vie possible. A la fin du XIXe siècle, avec la multiplication des fontaines et des lavoirs, les Provençaux lui ont rendu un culte renforcé par le poids des mots des écrivains et par la densité des images des cinéastes.
A partir de plus de 200 cartes postales du début du XXe siècle, Henri Joannet célèbre ici, à sa façon, une quête permanente de l'eau qu'illustre le célèbre dicton local : « Eici, l'aigo es d'or ».
Le sud de la France recèle des richesses aux contrastes saisissants : d'un côté la Méditerranée, porte ouverte sur l'Orient, de l'autre l'Atlantique, océan sans fin. Entre les deux se dressent les Pyrénées et le Massif central, contrées hostiles au climat rude que sillonnent les chemins de pèlerinage. Sur ces territoires méridionaux, le Temple a connu un fort développement et laissé de nombreuses traces dans le paysage.
L'association mâconnaise des Amis de l'Insolite nous invite à parcourir ensemble, grâce à une iconographie unique et inédite, ces terres autrefois placées sous la haute protection du Temple.
Chaque année, la terre tremble plus d'un million de fois ; 1 000 secousses environ sont ressenties par les hommes et une dizaine occasionnent des dégâts, parfois importants, avec des milliers de morts et des millions de sans-abri.
Le 11 juin 1909, en Provence, la région autour de Rognes subissait un tremblement de terre qui fit une cinquantaine de victimes et environ l'équivalent de 47 millions d'euros de dégâts. C'était il y a cent ans : ceux qui le vécurent ne sont plus de ce monde, mais le souvenir subsiste chez certaines familles, et quelques traces demeurent dans la géographie urbaine.
Cet ouvrage désire participer à la mémoire de cet événement, mais en le replaçant dans son contexte historique, à l'échelle du temps et du monde. Un exemple parmi bien d'autres de la fragilité de l'Homme dans la Nature et de la relativité de son histoire par rapport au temps géologique.
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