En deux chroniques bien frappées, sans confiture de houille et tranchées comme un bon pain de campagne, Vallès embarque ses lecteurs pour trois heures en ballon et une journée à Provins.
Ces chroniques paraissent les 20 et 21 août 1867. Juste avant celle - son antithèse parfaite - sur Baudelaire satanique et cabotin. Avant d'autres pour dire son retour au pays. Un autre voyage. Pour le lecteur de 1867 comme pour celui d'aujourd'hui, l'élévation commence : " Lâchez tout ! ". J. -F. N.