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Déroulant ses gradins depuis les Alpes du Sud jusqu'à la Méditerranée, l'amphithéâtre provençal est une terre de soleil et de paysages variés qui séduit et accueille les hommes depuis toujours. Certains d'entre eux se sont distingués dans des domaines aussi divers que l'art, la culture, la religion, la politique, l'économie, l'armée. Natifs de la région ou en terre d'adoption, ils ont tous laissé un souvenir indélébile dans l'histoire de la Provence. Au fil des pages, Henri Joannet vous invite à découvrir en images ces personnalités hors du commun, connues ou moins connues, qui ont porté haut les couleurs du pays provençal.
La truffe a connu son ge d'or, en production comme en vente, dans les premires dcennies du XXe sicle. C'est ce temps rvolu que nous prsente Francis Berger, l'aide de photographies et cartes postales anciennes. Chaque anne aprs le cavage, c'est--dire la rcolte, depuis les dernires semaines de novembre et jusqu'en mars, les marchs se succdaient, parfois chaque jour comme Terrasson o s'changeait un des plus forts tonnages. De Sarlat Salignac, de Nabirat Montignac et Thenon, particuliers et marchands se rencontraient autour de la perle noire, bien cache dans des paniers recouverts d'un linge blanc. On ngociait ferme, certes, mais en toute discrtion. Avant de retrouver la truffe dans tous ses tats en feuilletant ces pages, pourquoi ne pas vous munir de votre bton et de votre meilleur cochon, et partir sur une terre maigre et caillouteuse, l'ombre des chnes et des noisetiers ? La promesse d'une rcolte savoureuse n'est pas loin !
Saviez-vous que, jusque dans la première moitié du XXe siècle, dans certaines campagnes, une femme « en cheveux », sans coiffure, était assimilée à une sorcière à l'aspect démoniaque ? C'est au long du XIXe siècle que s'épanouissent les costumes régionaux et se différencient les coiffes, pour atteindre une extraordinaire diversité de styles dans les zones rurales vers 1905. Sur les limites de la région Poitou-Charentes actuelle, on comptait plus de 26 modèles aux noms tous évocateurs, comme canette, dormeuse, béguin, grisette, poireaude, pantine, cayenne, etc. Alors, il ne fallait pas moins que la réunion de deux connaisseurs, le spécialiste de l'histoire des coiffes régionales Pierre Couprie et le cartophile Maurice Bedon, pour étudier en images des coiffes de l'Aunis, de la Saintonge, de l'Angoumois et du Poitou.
Ces magnifiques coiffes font partie de notre richesse patrimoniale et il était temps de les apprécier aujourd'hui ailleurs que derrière la vitrine d'un musée !
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1915 fut, pour l'armée française, l'année la plus sanglante de la Grande Guerre. Le haut commandement estimait que la victoire ne pouvait aboutir qu'en perçant les lignes ennemies après les avoir écrasées sous un déluge d'obus. Le général Joffre lança donc de grandes offensives sur tous les fronts. Il fallait attaquer à outrance, user l'adversaire. Mais le mythe de la percée causa près de 400 000 morts et un million de blessés côté français. pour un résultat pratiquement nul ! Gilles Vauclair évoque la deuxième année de la Grande Guerre à travers une sélection de documents iconographiques allemands et français pour la plupart inédits. Comme dans son ouvrage consacré à 1914, les photographies dévoilent des ennemis, qui, au front, n'étaient pas si différents les uns des autres. Gilles Vauclair a signé de nombreux ouvrages sur la première guerre mondiale. A l'occasion du centenaire, il nous propose une série revenant sur chaque année du conflit. 1915, L'impossible percée en est le deuxième opus.
"Situé au nord du Maroc, à environ 500 mètres d altitude, sur le plateau de Saïs, entre le Moyen-Atlas au sud et les collines pré-rifaines au nord, Meknès est l une des quatre villes impériales et la troisième plus grande cité du royaume. Meknès connaît un essor extraordinaire au XVIIIe siècle, sous le règne de Moulay Ismail, roi bâtisseur, qui la transforme en capitale. La ville est alors mise en valeur par de grandioses constructions, des palais somptueux et de superbes mosquées ; elle est entourée de remparts percés de vingt portes fortifiées monumentales, de tours et de bastions. La partie ancienne de Meknès est surnommée « le Versailles du Maroc », et la ville moderne « le petit Paris ». Saadya Hanini Lalla et Fabris Parpagiola remontent le temps et nous proposent une riche collection iconographique restituant l'histoire de Meknès, l'une des plus importantes cités méditerranéennes et arabes placées sous la protection de l UNESCO depuis 1996."
La transhumance remonte à la nuit des temps.
En Provence, depuis l'époque romaine vraisemblablement, les troupeaux ovins sont déplacés pour l'été, afin qu'ils bénéficient de l'herbe nouvelle, vers les pâturages au pied des sommets des Alpes.
Inversement, des troupeaux élevés en montagne gagnent la plaine en hiver.
Associant l'Homme, l'animal et le cycle végétal, cette migration saisonnière a marqué la mémoire collective.
Elle s'est longtemps déroulée à aujourd'hui sous d'autres formes.
Déjà auteur de nombreux ouvrages aux Editions Sutton, Henri Joannet présente cette tradition ancestrale à partir d'une iconographie ancienne et diversifiée.
Après un premier tome paru en 2006, Jérôme Baconin vous propose 15 nouveaux portraits d'Auvergnats qui ont joué un rôle important dans l'histoire de notre pays. Certains sont restés fameux, d'autres moins, mais tous ont eu leur heure de gloire et depuis, rues, places ou monuments leur rendent hommage. Qui, parmi vous, connaît le Delille de la fameuse place clermontoise ou encore Jean Domat, ce grand juriste ami de Pascal ? Terre de Dieu, l'Auvergne a vu naître de grands saints tels Austremoine ou les grands abbés de Cluny, sans oublier Grégoire de Tours sans qui nous ne connaîtrions pas aussi bien l'histoire de Clovis et des Mérovingiens. On trouve également de grands militaires à l'instar du maréchal de Turenne ou du général Delzons, héros malheureux des campagnes napoléoniennes. Et saviez-vous que le connétable Bertrand du Guesclin avait péri en terre auvergnate ? De la politique à la religion en passant par l'aviation, cet ouvrage vous propose de découvrir en images ces grands hommes qui ont porté haut les couleurs de l'Auvergne.
Le département des Alpes-de-Haute-Provence était dénommé Basses-Alpes entre 1790 et 1970. La population, installée à 90 % dans l'agriculture à la fin du XVIIIe siècle, comptait moins de 10 % de paysans dans les années soixante-dix. Cette évolution, commune à bien d'autres départements, s'est doublée d'un fort dépeuplement car la terre était bien trop ingrate pour le nombre d'habitants qu'elle avait à nourrir.
Ce changement d'appellation de notre département a donc accompagné le passage d'une société rurale en difficulté à une économie en forte croissance qui démarra dans les années soixante et à laquelle les Alpes-de-Haute-Provence participèrent.
La noble intention qui anime ici Henri Joannet est de témoigner de cette évolution à l'aide d'une iconographie irremplaçable constituée de cartes postales anciennes. Ces magnifiques documents, ceux situés entre 1900 et 1914 ayant été privilégiés, offrent une juste et belle photographie de cette époque.
Après la victoire écrasante de l´Allemagne sur la France en 1871, 1914 marque le début d´un nouveau face à face pour les armées allemande et française. Une fois de plus, l´Allemagne a prévu d´écraser la France dans une guerre-éclair. Dès le mois d´août 1914, le sort des armes semble donner raison aux troupes du Kaiser. Mais l´extraordinaire résistance du soldat français, le légendaire poilu, déjoue les plans de l´ennemi. Des prémices au déclenchement lui-même, en terminant par les batailles qui formèrent ce qu´on appela la guerre de mouvement, Gilles Vauclair évoque la première année de la Grande Guerre à travers une série de documents iconographiques allemands et français pour la plupart inédits.
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Le cheval a été le moteur de l´économie du XIXe siècle, au sens propre comme au sens figuré.
L´homme lui doit une large part des progrès accomplis au cours de ce siècle : le cheval était partout, dans l´agriculture, le transport des personnes, l´industrie, les services intermédiaires les plus divers... Il a continué son bonhomme de chemin sur une partie du XXe siècle dans certains secteurs, mais l´arrivée du chemin de fer, puis celle du moteur à explosion, ont mis à mal sa suprématie.
Deuxième ville française par sa population, Marseille compte 111 quartiers répartis dans seize arrondissements. Après le succès du premier tome consacré aux 1er, 2e et 3e arrondissements, la visite des quartiers marseillais se poursuit. Ce sont cette fois les 4e, 5e, 6e et 7e arrondissements qui se dévoilent au fil des pages. Du quartier Saint-Victor, fondé par les Grecs, à celui de Notre-Dame, lieu d´une très ancienne dévotion médiévale, en passant par l´îlot d´If, à l´entrée du Vieux-Port, sur lequel trône une magnifique forteresse Renaissance, vous êtes encore au coeur historique de la ville. Mais en vous éloignant du centre, vous rencontrez des quartiers « neufs », ceux qui commencent leur extension au XVIIe siècle et la poursuivent, ou pour certains la commencent, lors du XIXe triomphant tels les Cinq Avenues, Lodi ou Baille. L´historien Michel Méténier et le collectionneur Fernand Revilla ont, une nouvelle fois, réuni leurs compétences pour vous présenter un recueil exceptionnel rassemblant plus de 170 cartes postales et documents anciens.
Grasse doit essentiellement sa prospérité au caractère industrieux de ses habitants qui ont su tirer parti d une situation privilégiée, entre mer et montagne, et d un climat d une douceur exceptionnelle. Les ressources végétales naturelles ont favorisé l élevage et la culture des plantes nécessaires à la tannerie, à laquelle a succédé la parfumerie. A la fin du XIXe siècle, l arrivée du chemin de fer permet de développer une villégiature de luxe et, à partir de 1936, l avènement des congés payés attire un important tourisme de masse. Il est donc tout naturel qu une région présentant autant d atouts ait vu naître, dès les débuts de la photographie, autant de vocations : citons les photographes Charles Nègre, Félix Busin ou Victor Guizol, ou le banquier Jean Luce, amateur éclairé. A la fin du XIXe siècle, la carte postale connaît son âge d or. De grandes agences envoient des photographes pour assurer une couverture des lieux pittoresques : Grasse est alors abondamment « mitraillée » par Neurdein, Leroy et Lévy... Marie-Christine Grasse a choisi de présenter quelques aspects de la vie de la cité, en s appuyant sur une abondante iconographie réunie au sein des collections du musée d Art et d Histoire de Provence ainsi que sur des chroniques contemporaines pour la plupart inédites. Marie-Christine Grasse, conservatrice des musées de la ville de Grasse, signe ici son troisième ouvrage aux Editions Alan Sutton.
Plus d'une centaine de cartes postales anciennes vous invitent à découvrir la Marne au début du XXe siècle : sur ses coteaux, déjà, les fameux ceps qui ont fait sa réputation et, plus loin, ses Maisons et caves de champagne mais aussi l'industrie textile, moins présente aujourd'hui. Au fil des pages, les images présentent des paysages et des rues qui vont être meurtris ou détruits lors de la première guerre mondiale. Elles montrent également la Marne pansant ses plaies, se reconstruisant et se souvenant des combats et des morts. Un album souvenir sur la Marne de la Belle Epoque, connue alors pour son vin, pas encore pour avoir été le théâtre d'une prodigieuse bataille.
Sur les documents anciens qui nous présentent la Petite France, une haute cheminée industrielle étonne : il s´agit là des bains Napoléon, un des établissements que fréquentaient nos grands-parents pour y pratiquer l´hygiène corporelle avant la généralisation des salles de bains individuelles. En passant par Sainte-Marie-aux-Mines, Colmar, Guebwiller, Mulhouse ou Strasbourg, découvrez l´histoire de ces bains dont certains sont encore en service aujourd'hui. Loin de la mer, les Alsaciens ont recherché, depuis des siècles, les plaisirs de la baignade dans le Rhin, fleuve mythique, dans les rivières ou dans les lacs vosgiens. L´eau n´est-elle pas promesse de santé, comme en témoigne le développement des stations thermales alsaciennes à la fin du XIXe siècle ? L´auteur présente ici plus de 200 cartes postales anciennes, photographies et documents commentés avec précision pour nous éclairer sur un thème aux multiples facettes. Il évoque ainsi des aspects méconnus de la vie d´autrefois, de l´histoire des pratiques sportives et du patrimoine alsacien.
Ce second volume consacré à Chalon-sur-Saône s'intéresse surtout à la Saône et au canal du Centre qui traversaient la ville au début du XXe siècle. Les activités fluviales sont à cette époque encore nombreuses, malgré le développement et la concurrence du rail. Les chantiers navals de la route de Lyon, les usines du Petit Creusot, les activités portuaires du Grand Bassin du Canal rythment la vie chalonnaise. Sylvain Cousson nous propose une balade dans le temps, où l'on retrouve les plates arrimées aux quais, l'embarcadère du Parisien mais aussi la halle aux grains ou la rue de Paris.
Les cartes postales anciennes permettent de revenir sur un passé qu'apprécieront les Chalonnais et que découvriront les autres.
A l'aube du XXe siècle, Mulhouse est une ville en pleine mutation. La guerre de 1870 s'estompe dans les mémoires et le nouveau conflit à venir est encore inimaginable.
La ville aux cent cheminées est placée sous le signe de l'essor industriel et démographique. A la Belle Epoque, elle connaît un développement remarquable intra et extra-muros.
Une certaine douceur de vivre favorise la vie associative, la fée électricité préside à la qualité de la vie, alors que la mode parisienne se dessine à Mulhouse.
Cet ouvrage s'efforce de révéler quelques-uns des aspects méconnus des années 1900, une floraison de commerces, l'extension des quartiers.
Bernard Fischbach, ancien journaliste, et François Wagner, professeur d'histoire, auteurs de l'ouvrage 1914-1918 en Alsace dans la collectionMémoire en Images, allient, une fois de plus, leurs compétences pour proposer cette évocation historique s'appuyant sur des documents souvent inédits.
Commencée en 1843 avec l'ouverture de la voie ferrée en provenance de Paris, l'histoire ferroviaire orléanaise n'a jamais cessé d'évoluer, faisant face aux aléas provoqués par les guerres, la concurrence automobile ou encore les particularités de la géographie locale. Le rail a même connu un renouveau certain depuis l'an 2000 avec la mise en service d'une première ligne de tramway moderne entre Fleury-les-Aubrais et l'hôpital de la Source, suivie en 2012 par la création d'une seconde ligne et prochainement par la réhabilitation des voies ferrées menant à Chartres et à Châteauneuf-sur-Loire. Ancien conducteur de bus et de tramways à Orléans entre 2000 et 2006, Pierre Bazin, qui travaille désormais à la RATP, est l'un des nombreux navetteurs qui empruntent chaque jour le train pour rejoindre la capitale. A l'occasion de l'ouverture du nouveau tramway entre La Chapelle-Saint-Mesmin et Saint-Jean-de-Braye, il évoque, à travers sa collection de photos et de cartes postales, la riche histoire ferroviaire de la cité johannique.
Au travers de photographies et de cartes postales anciennes, nous retrouvons une seconde fois Annonay pour une balade au fil de l'eau et à travers les rues de la ville.
Le quotidien de toute une époque aujourd'hui révolue s'anime au travers de ce parcours. Annonay, capitale du cuir, prend ainsi ses atours de cité laborieuse. Le livre retrace les évolutions de ces activités avec le temps car les hommes ont su s'adapter et innover en créant de nouvelles industries.
Par ailleurs, une très riche iconographie met en valeur l'histoire du logement, de nombreux événements locaux mais aussi les fêtes et loisirs des habitants.