La Cucaracha, dernier projet du photographe Pieter Hugo, a été créé au Mexique en 2018 et 2019. Cette série de photos dépeint les personnes et les situations rencontrées par l'artiste au cours de ces quatre séjours à Mexico, Oaxaca de Juárez, Juchitán et Hermosillo. Les portraits et natures mortes mettent en avant l'ouverture de cet artiste voyageur face à des situations génériques mais inattendues.
Première monographie consacrée uniquement au travail en couleur du photographe mexicain proposant une séléction de clichés dont certains inédits.
Le Jeu de Paume présente, en collaboration avec le Museo Amparo de Puebla (Mexique), la première exposition rétrospective de la photographe Kati Horna (1912-2000), retraçant plus de six décennies de production en Hongrie, en France, en Espagne et au Mexique. Mexicaine d?adoption, elle fait partie de la génération de photographes hongrois contraints de quitter leur pays en raison des conflits et de l?instabilité sociale des années 1930.
Publié à l'occasion de l'exposition au Centro de la Imagen (Mexico) du 16 août 2018 au 11 novembre 2018, Africamericanos est le premier projet novateur de recherche, d'exposition et de production visuelle qui cherche à examiner et à faire la lumière sur la configuration des imaginaires associés aux communautés afrodescendantes en Amérique latine et dans les Caraïbes.Ce catalogue comprend des images de Pierre Verger, Maya Goded, Sandra Eleta, Nelson Garrido, Cristina de Middel et de la Collection de l'Instituto Moreira Salles pour n'en nommer que quelques-unes ; textes de Claudi Carreras, Abraham Nahon, German Rey et Sheila Walker, photos en n.b. et en couleurs.
Cet ouvrage accompagne une exposition de la Fundacion Mapfre presentant pour la première fois en Espagne le travail du photographe irlandais Eamonn Doyle (Dublin, 1969). Il propose des oeuvres réalisées au cours de la dernière décennie, caractérisée par le retour à une pratique photographique rigoureuse se concentrant particulièrement sur sa ville natale, Dublin. Le séries « i », « ON » et « End », autrement connues sous le nom de « Trilogie de Dublin » cotoient le corpus plus récent entitulé « K », d'avantage mysterieux et personnel.
Photographe emblématique de l'underground madrilène des années 1980, Alberto García-Alix déconstruit la réalité par la photographie. Un voyage émotionnel à travers sa propre imagination : paysages urbains, natures mortes abstraites, portraits et autoportraits qui sont exposées à la Maison Européenne de la photographie (22/10/14 - 25/01/14).
En miroir du livre The Pigs qui parlait de la situation économique du Sud de l'Europe, Carlos Spottorno propose avec Wealth Management un regard acide sur la Suisse, pays des banques et des grandes fortunes.
Cet ouvrage est le facsimilé de l'album que Joan Colom prépara pour son ami le galeriste Josep Maria Casademont. Ces photographies prises entre 1958 et 1964 dans le fameux quartier barcelonais du Raval font partie de la série emblématique Gente de la Calle, qui a marqué l'histoire de la photographie au XXe siècle. Elles sont présentées dans la maquette d'album conçue par Colom lui-même et valorisées par un rythme narratif très expressif.
Andrew Dempsey spent ten years studying the entire body of Juan Rulfo's photographic work, consisting of some 6,000 images. Daniele De Luigi joined him in his task and together they have made this selection of 100 photographs. This catalogue-book, the first ever based on familiarity with the entire photographic archive of Juan Rulfo, draws on the majority of the genres he cultivated, each one duly weighed: the buildings of Mexico, the country's varied landscapes, small village life, the family and friends -including artists and writers- of Juan Rulfo himself... Two texts by Rulfo are included: one on the two sojourns of Henri Cartier-Bresson in Mexico and another on the Mexican photographer Nacho López.
En 63 photographies couleur, cet ouvrage présente un choix de paysages où l'on reconnaît Mexico, Tijuana, Acapulco et Chiapas, ainsi qu'une série de clichés pris à Hong Kong. Parmi toutes ces images, beaucoup de photos aériennes, de paysages urbains ou ruraux qui créent une mise en scène de la réalité.
A chupar del bote, dont le titre correspondrait à l'expression "vivre au crochet de la société", provient d'un spectacle présenté dans un cabaret populaire de Barcelone, El Molino, au milieu des années 70. L'ouvrage nous fait redécouvrir le travail de Ximo Berenguer (1946-1977), une figure de la photo espagnole tombée dans l'oubli. Entre les dernières années du régime franquiste et les débuts de la transition républicaine, le photographe se rend à El Molino dans le quartier populaire de Paralelo pendant trois années ; il y saisit la poésie du lieu, danseurs souvent travestis et les danseuses entre scène et coulisses, ainsi que intimité avec le public.
Ce livre photographique raconte la vie de «personne 42408», le numéro attribué à la grand-mère de la photographe mexicaine Claudia Hans lors de son arrivée au Mexique pendant la Seconde Guerre mondiale. Petit et intime, le livre ressemble à un journal privé, avec des résonances contemporaines dans ses thèmes du racisme, des inégalités et de la violence.
Le photographe équatorien Misha Vallejo travaille entre le documentaire et la narration. Dans le projet Secret Sarayaku, il cherche à redonner une présence à la communauté Kichwa qui vit à Sarayaku, dans la forêt amazonienne. Sa philosophie de vie, appelée Forêt Vivante, considère que tous les petits éléments d'une forêt sont liés, qu'un changement les affectera tous, et qu'il faut donc vivre uniquement de l'essentiel. Entre portraits et paysages, simplement et sans discours, Misha Vallejo cherche ici à montrer cette communauté dont les savoirs sont ignorés et les habitations menacées par l'extraction pétrolière.