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La Gidouille
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Pour son 4e Variations, La Gidouille a largement diffusé une photo de feu d'artifice prise depuis une table festive, histoire d'égayer notre époque plus que grisâtre. Comme d'habitude, toute latitude a été laissée aux auteurs pour utiliser les détails de la photo, lumières, accessoires, personnages.
25 textes ont été sélectionnés. Comme d'habitude, tous les genres sont représentés, prose - romantisme, polar, suspense, humour -, poésie, dessin.
Tout lecteur trouvera son compte dans cet ouvrage, car un feu d'artifice peut cacher bien des surprises, et les personnages peuvent être tour à tour émerveillés, inquiétants, calculateurs, troublants et troublés !
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Encrages de la vie ; nouvelles sur des lavis de Didier Collobert
Collectif
- La Gidouille
- 29 September 2017
- 9791092842289
Didier Collobert a mis à disposition 3 portraits au lavis à chacun des 14 auteur(e)s. Parmi ces 3 portraits, ils/elles en ont choisi un et ont écrit une nouvelle inspirée par ces visages. Chaque histoire est différente, tantôt ironique, dure, sentimentale ou glaçante, témoin de la naïveté, de la tendresse ou de la dureté du monde, mais le regard est toujours humaniste.
Les auteur(e)s, 7 femmes, 7 hommes : Fabienne Juhel, Alain Emery, Gérard Alle, Charles Madézo, Gérard Le Gouic, Max Alhau, Bernard Berrou, Christiane Baroche, Anne Guillou, Michelle Labbé, Anne-Denes Martin, Anne Burlat, Jeannie Le Reste et Hervé Carn.
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« Le surlendemain du Mardi gras, cinq femmes du village se présentaient au bureau de police de...».
Telle est la première phrase de L'Affaire Lerouge d'Émile Gaboriau, publié en 1866, considéré comme le premier roman policier français contemporain, qui a inspiré Sherlock Holmes à Conan Doyle.
C'est le point de départ choisi par La Gidouille pour émoustiller l'imagination des auteur(e)s potentiels de ce Variations 7 qui devaient poursuivre cette première phrase à leur guise, sans forcément « faire du polar ».
Un jury composé des éditeurs, de libraires, bibliothécaire et lecteurs de club de lecture s'est réuni au printemps pour choisir les textes - anonymes jusqu'au vote - qui sont publiés dans ce recueil parmi la cinquantaine reçus.
Le résultat est comme toujours étonnant et détonnant, mêlant humour, polar - quand même parfois ! -, romantisme, références littéraires, limite du fantastique et du fantasme.
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Une nuit noire, un endroit excentré qui surplombe la ville et est devenu un lieu de rendez-vous des plus glauques.
L'homme y est revenu pour se remémorer, 30 ans plus tôt, son amour d'enfance pur et délicat avec une petite camarade de classe alors qu'ils n'avaient pas 10 ans dans les années 1970 et que le terrain vague était encore accueillant.
Au cours de ce récit, tour à tour extrêmement cru puis d'une tendresse et d'une poésie infinies quand il parle des premiers émois juvéniles, l'auteur traduit en quelques pages les facettes les plus inavouables et les plus douces de l'amour.
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Pour son 3e numéro, la collection Variations a largement diffusé l'idée « Bête à chagrin », en laissant comme d'habitude toute latitude aux auteurs de s'exprimer.
Plus d'une cinquantaine de textes ont été reçus, 24 ont été sélectionnés. Autant dire que le choix a été difficile et le niveau de haute tenue. Tous les genres sont représentés encore une fois, prose, poésie, dessins, BD.
Encore un ouvrage éclectique comme les aime La Gidouille, et tout lecteur y trouvera son compte, d'autant plus que les bêtes à chagrin ne sont pas toujours tristes !
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Pour son 5e « Variations », La Gidouille a largement diffusé une idée directrice et large : « Vous qui passez sans me voir ». À partir de ce numéro, un jury est mis en place, composé de 2 libraires, d'une bibliothécaire, de 4 membres de clubs de lecture et des 2 éditeurs. Les textes choisis, d'auteurs connus et aguerris ou amateurs, ont donc toute la légitimité d'une qualité émotionnelle et littéraire revendiquée et âprement délibérée.
On s'amuse, on rit, on pleure, on frissonne, on tremble, en un mot, cette lecture de textes courts est aussi variée dans la forme (dessins, prose, poésie) que dans le ton. Un excellent cru !
Avec des textes de : Dominique Amanou (75020), William Augel (54 Nancy), François Aussanaire (22 Langueux), Yvon Bouëtté (13 Maussane-les-Alp.), Jean-Yves Broudic (22 Paimpol), Françoise Cavelan (22 Plouezec), Périne Dourel (22 Plouha), Christine Fontaine-Letellier (35), Bernard Granjean (48 La Canourgue), C. Huon de Penanster (Barcelona), Éric Lainé (28 Chartres), Corine Laubin (29 Clohars-Carnoet), Sève Laurent-Fajal (35 Longaulnay), Christophe Lazé (22 Ploufragan), Mireille Le Liboux (56 Larmor-Pl.), Sylvaine Le Querrec (56 Berné), Philippe Miquel (22 Pleudaniel), Paul Rigolot (29 Saint-Pol-de-Léon), Marie-Françoise Roger (75014), Jean-Pierre Simon (45 Orléans), Gilbert Siou (29 Plouzané), Ève-Lyn Sol (56 Meslan), Josette Trillaud-Réthoré (41 Blois), Sandrine Waronski (92 Courbevoie).
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Ce livre est le résultat des votes d'un jury de libraires, lecteurs/trices, bibliothécaire, éditeurs et auteure de la photo sur des envois de textes anonymisés, votes donc impartiaux, ce qui en garantit le haut niveau.
La Gidouille poursuit avec bonheur sa collection du collectif annuel Variations. Ce cru 2018 réserve bien des surprises avec ses récits, ses dessins et ses poésies inspirées par la photo d'un vieux vélo déglingué couvert de coquilles d'huîtres, témoignage émouvant d'un long séjour au fond de la mer.
Toujours plus imaginatifs, les 21 auteurs ici publiés ont imaginé les raisons les plus romantiques, farfelues ou tordues pour lesquelles ce vélo s'est retrouvé dans cette situation.
Des découvertes étonnantes, des lectures surprenantes. Un bel exemple encore une fois du talent des écrivains contemporains de toutes les régions de France.
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Mêlant contes, poésies et récits de vies, de Jeannette à « celle qui n'avait pas de langage » en passant par Koutoumé, entre autres, on assiste ici à des histoires d'amour puissant ou de haine qui n'est jamais passée.
Femmes silence, humiliées, blessées.
Femmes debout, femmes rebelles.
Les histoires de Jean-Marc Derouen nous entraînent sur des chemins tortueux, superbes et imprévisibles.
Sa tendresse, son sourire ou sa compassion nous troublent à chaque page. Ses univers réels ou décalés se côtoient sans cesse.